Technique de peinture sur figurine

Contraster ses figurines – la théorie des couleurs part. 3

Comme promis, voici la 3e et dernière partie de cette série sur la théorie des couleurs. Nous y aborderons un sujet très important : comment contraster ses figurines ?

Et oui, car c’est bien beau tout ça, mais la théorie des couleurs, comme son nom l’indique… bah c’est de la théorie. Or, pour qu’elle soit utile, il faut surtout comprendre comment la mettre en pratique. Après avoir lu la partie 1 – théorie des couleurs et la partie 2 – complémentarité des couleurs, tu sais ce qu’est la clarté, la saturation. Tu sais aussi ce qu’est une couleur complémentaire. Mais à quoi ça te sert tout ça ? Voyons ça ensemble.

Objectif : rendre la figurine “lisible”

Une question d’échelle pour l’oeil

Ca ne doit pas être la première que tu entends parler de “contraste” en peinture sur figurine. Mais concrètement, ça veut dire quoi ? On pourrait se dire “si je peins du rouge, les ombres vont se créer naturellement grâce aux volumes de la sculpture. Mon T-shirt par exemple, il est uniformément rouge, et il y a bien des ombres et lumières.”

Oui ! Sur nos vêtements, dans notre environnement de tous les jours, c’est vrai. Mais on est pas sur la même échelle. Les volumes de ton T-shirt sont plus grand que ceux de ta fig. Et donc, la lumière ne s’accroche pas de la même manière. Pas assez, sur ta figurine. En tous cas, pour tes yeux. Donc les ombres et lumières ne se font pas toutes seules. Il faut les accentuer, les simuler, pour obtenir des volumes bien lisibles à l’œil nu. C’est donc en cela que les fameux “contrastes” sont importants. Ils permettent à l’œil de comprendre ce que représente la figurine. Les ombres et lumières vont redessiner les volumes, et permettre au cerveau de bien les “lire” : cette zone est sombre, ce qui veut dire qu’elle ne prend pas la lumière : elle est donc en retrait. A l’inverse, celle-ci, plus lumineuse, est fortement éclairée donc est en avant !

Bien contraster ses figurines, c’est comprendre comment poser ces ombres et lumières. Et l’intensification de ces contrastes est ce qui va rendre la figurine “lisible”. On va aider l’oeil à comprendre les différents volumes, différentes matières, etc…

Comprendre les volumes pour contraster ses figurines

Mais comment faire pour savoir correctement poser les ombres et lumières ? Comment savoir où mettre du contraste sur mes figurines ? La base de la réponse à ces questions réside dans la compréhension des volumes.

Il faut bien avoir en tête qu’une figurine ne capte pas la lumière partout de la même manière. De manière naturelle, le haut sera plus lumineux, la lumière arrivant du dessus (pour une représentation “standard” de jour). Mais on ne peut pas se limiter à cela. Une figurine se décompose en plusieurs volumes. Et chacun de ses volumes est d’ailleurs décomposable en plusieurs volumes à son tour. Je dirai qu’on peut définir les volumes suivants :

Volume général

J’appelle “volume général” la forme globale de la figurine. Définir ce volume permet de savoir comment poser la lumière globale. Celle qui vient directement de la source principale de lumière, généralement le soleil. Dans l’ensemble, comme je le disais, le haut de la figurine va être plus lumineux car le soleil éclaire par le haut. C’est ce qu’on appelle communément l’éclaircissement “zénithal”. C’est la première étape principale qui va permettre de correctement contraster ses figurines.

Mais attention, il faut tout de même définir la forme globale de la figurine pour comprendre comment se comporte cette lumière générale. La morphologie va impliquer une pose de la lumière et des ombres potentiellement différente. Ici un exemple de deux formes complètement opposées :

Contraster figurine volume général
Crédit photo et peinture : Minisocles
Liens vers les articles nain volant et Stompa Ork

Sur la première figurine, la surface du haut qui capte la lumière est très large, puis se rétrécit de plus en plus vers les pieds. Le volume général est comparable à un cône inversé avec une grosse forme “plate” sur le dessus, sur lequel la lumière zénithale se répartit comme sur le schéma à sa droite.
A l’inverse, la seconde est très fine sur le haut, et s’élargit de plus en plus. On est ici sur un cône classique.

Tu peux donc constater très clairement la différence de volume général entre les deux figurines, et son effet sur la lumière. La première va être très lumineuse en haut, puis très sombre sur le bas, du fait de la masse imposante des épaules. La seconde va être plus lumineuse dans son ensemble, car rien n’empêche la lumière de venir éclairer même le bas de la fig, jusqu’à la limite du “cône” (ce qui se trouve en dessous, par contre, sera très sombre).

Les personne ayant lu cet article ont aussi lu :  Apprendre a dessiner pour mieux peindre

Volumes principaux

Une fois que le volume général est défini, pour poser correctement ses lumières, il faut se pencher sur les volumes suivants, que j’appelle ici “volumes principaux”. Dans le volume général, on pensait la figurine sur son ensemble. Ici, on va commencer à la découper. Si on reprend l’exemple du Nain Volant, on distingue des formes sphériques que sont la tête, les épaules, les poings. Ces parties, par exemple, vont chacune prendre la lumière de manière indépendante l’une de l’autre.

On va donc commencer à intégrer à la couleur de base, donnée par le volume général (la tête sera un peu plus claire que les poings, plus bas sur le volume) des variations d’ombres et de lumières en fonction de la forme. Ainsi, les poings ne seront pas d’une couleur uniforme. Il vont se comporter de manière relativement sphérique, avec une lumière forte sur le dessus et de plus en plus d’ombre, très marquées, sur le dessous.

lumière figurine

On voit alors se dessiner les premières ombres et lumières, qui vont rendre chaque partie plus lisible, qui vont les distinguer les unes des autres.
Attention cependant : j’ai dit plus haut qu’elles prenaient la lumière indépendamment les unes des autres. Mais bien évidemment, chaque forme va avoir une incidence sur l’autre. Dans le sens où ici, par exemple, la tête est imposante et va donc cacher une partie des épaulettes de la source de lumière, et donc ombrer la zone en question. Mais disons que cela peut venir dans un second temps, en fonction du niveau que l’on souhaite donner à sa figurine. Définir le volume général et les volumes principaux est l’étape la plus importante, puisqu’elle va donner son réalisme à chaque “morceau” de la figurine.

Pour rendre les choses encore plus concrètes, sur un personnage humain de morphologie classique, on a souvent les mêmes volumes principaux :

  • La tête, de forme relativement sphérique
  • Le buste, de forme pyramide/cône inversé
  • Les bras et les jambes, de forme relativement cylindrique

Reste ensuite à prendre des références sur ces formes pour voir leur comportement à la lumière et ainsi définir où poser ses ombres et ses lumières.

Volumes secondaires

Ensuite, on peut à nouveau découper ces volumes en volumes secondaires. Et cela plusieurs fois. Un bras, par exemple, est décomposable en plusieurs muscles. Chaque muscle, est décomposable en plusieurs sous-volumes à nouveau. Mais quand s’arrêter alors, c’est une travail sans fin nom de nom !

Comme d’hab’… oui et non ! Oui, car on peut en effet y passer un temps infini à fignoler le moindre détail. Par exemple, Pierre Perricaudet, sur son dernier travail récompensé au SMC, a passé plus de 200h à peindre l’ensemble des éléments, à corriger les lumières, à affiner les sous-volumes. Mais cela dépend de toi et du temps que tu es prêt à investir dans la peinture de cette figurine qui passe actuellement sous tes pinceaux.
Si tu souhaites y consacrer moins de 3h, alors évidemment, tu ne reproduiras pas chaque fibre musculaire. Il faut alors se concentrer sur les masses principales : le biceps, le triceps, le creux du coude, etc…
Et si tu souhaites y passer encore moins de temps, pas de soucis : tu te limites aux volumes principaux, avec des techniques de peinture rapide comme le brossage à sec et les encrages.

L’important n’est pas tant de savoir faire le dégrader parfait, mais de poser la lumière au bon endroit, pour que l’œil comprenne ce qu’on veut lui faire voir. En somme, de bien contraster ses figurines. Et c’est pas moi qui le dit (enfin pas que), ce n’est personne d’autre que Nicolas Deze, récompensé médaille d’argent en master SMC… a priori, il sait de quoi il parle ! Et en adoptant cette méthode, tu vas d’ailleurs peindre par étape, en adaptant en fonction du temps que tu souhaites accorder :

  • Je peins le volume général : si je veux faire du très rapide, hop, je m’arrête-là, un petit lavis général, et c’est bon !
  • Je veux aller plus loin… très bien, je peins les volumes principaux : je peux m’arrêter là si je le souhaite, ou passer vite fait sur les détails, et ça donne un très bon rendu
  • Pousser encore un peu : bien sûr, on passe aux volumes secondaires en reprenant le dégradé sur chacun des volumes

Et en plus, on peut laisser une fig à une étape, et y revenir plus tard pour améliorer la peinture avec cette approche. Voici encore un schéma qui permet de comprendre un peu plus les différents niveaux :

Les personne ayant lu cet article ont aussi lu :  Interaction entre couleurs : théorie des couleurs - part. 2
volumes figurine

7 manières de contraster ses figurines

Maintenant que nous avons éclaircis la dernière partie théorique avec la pose des ombres et lumières, voyons le plus concret : comment contraster ses figurines ?

Suite au dernier article sur la complémentarité, on pourrait croire qu’il faut simplement et systématiquement opposer des complémentaires pour une bonne lisibilité. Si c’est en effet une méthode, ce n’est pas la seule, loin de là. Il y en a d’autres qui permettent de sortir d’un schéma qui deviendrait alors imposé. Je veux utiliser du vert ? Ok, donc je dois mettre aussi du magenta. Du bleu ? Ok, il me faut du orange… et bien non, pas forcément.

Un contraste, c’est tout ce qui permet à l’œil de dissocier deux points distincts d’une image. Voyons 7 méthodes pour obtenir cet effet de lisibilité :

Contraste de saturation (ou de qualité)

Nous l’avons vu dans les articles précédents, une couleur est définie par plusieurs choses : sa clarté, sa teinte et sa saturation. Cette dernière valeur est un excellent premier moyen de contraster ses figurines, et ainsi bien séparer visuellement deux zones. L’idée est ici de juxtaposer deux éléments, l’un peint de manière très saturée, et l’autre de manière beaucoup plus terne. C’est un contraste qui fonctionne d’autant plus que la proportion de couleur désaturée est importante. Typiquement, un chevalier en armure lavée par le temps, ayant perdu son éclat, paraissant terne et grisâtre, sera mise en valeur par une petite fiole d’une potion très riche et éclatante.

Contraste de chaleur

Le contraste de chaleur joue sur une chose que nous avons abordé dans la partie 1 : le sensation face aux couleurs. On le sait certaines nous donnent une sensation de chaleur (rouge, jaune, orange) quand d’autres inspirent le froid (vert, bleu). Associer ces couleurs les unes à côté des autres permets de bien distinguer les différents éléments, et constitue un excellent moyen de contraster ses figurines. On va également donner de la profondeur, car les couleurs froides ont tendance à réduire la taille des éléments, et à les mettre en retrait, tandis que les couleurs chaudes ont tendance à attirer le regard, rendant les pièces plus grandes, les propulsant vers l’avant.

Contraster ses figurines avec la clarté

Evidemment, la clarté, ou luminosité, est un élément qui permet de créer naturellement du contraste. C’est même celui vers lequel on se retourne le plus, car il arrive de manière complètement logique : ça prend la lumière, c’est clair, c’est dans l’ombre, c’est sombre. Mais cela ne fonctionne pas uniquement pour poser les lumières. On peut également créer du contraste en associant des éléments globalement sombre à d’autres globalement plus lumineux. C’est d’ailleurs un excellent moyen d’orienter le regard en guidant l’œil vers là où on le souhaite. En effet, l’œil est attiré par ce qui est plus clair. C’est donc généralement de cette manière que travaillent les peintres pour guider le regard par exemple vers le visage, en éclaircissant progressivement les éléments au fur et à mesure qu’ils se rapprochent du visage de la pièce… traçant un chemin invisible pour nos petits yeux de passionnés.

Contraste de complémentarité

Et oui, je disais plus haut qu’il n’y avait pas QUE ça… mais il y a aussi ça. L’œil trouve l’association de couleurs complémentaires particulièrement agréable. Cela facilite la lecture car ce sont les couleurs les plus opposées. Et qui dit opposé dit contraste ! Alors si clairement je t’incite à ne pas faire que ça, encore une fois pour ne pas tomber dans le piège de “j’ai peins du vert, il me faut du magenta O-BLI-GA-TOI-RE-MENT”, il ne faut jamais l’oublier, c’est un véritable outil de travail.

Contraste gris-coloré

Le contraste gris-coloré se rapproche un peu de celui de la saturation. A ceci près qu’on joue ici sur un trompe l’œil. En effet, un gris pur est, par définition, un mélange exclusif de blanc et noir. Ce n’est donc pas une couleur. Cependant, quand on le met à côté d’une couleur, le cerveau nous fait un petit tour de passe-passe, et change légèrement sa perception. On y voit plus un gris pur, mais un gris légèrement coloré… de la couleur complémentaire à celle juxtaposée.
Pourquoi ne pas directement mettre la complémentaire ? Car parfois, un schéma de couleur peut déjà être suffisamment complexe pour qu’on lui ajoute une couleur supplémentaire. Il est donc préférable de jouer sur cet effet d’optique, afin de ne pas complexifier les choses et garder une bonne lisbilité… tout en apportant, à nouveau, du contraste !

Contraster ses figurines par le détail (la quantité)

Bah ouai, t’es sympa, mais si moi ma fig je la veux majoritaire d’une couleur. Je vais quand même pas faire ma Night Watch de Games of Throne en bleu et orange juste pour te faire plaisir. Alors non, en effet, tu ne vas pas faire ça… s’il te plaît ne le fait pas !
Par contre, tu peux aussi ne pas simplement tremper tes figs dans le pot de noir juste parce-que ça va plus vite et que John Snow t’en voudra pas. Non non. Tu peux jouer sur la notion de contraste de quantité. Ceci permet, par de petites touches, de faire ressortir des éléments clés, casser la monotonie d’une couleur et rendre l’ensemble plus lisible. Il s’agit là de venir poser de petites touches d’une couleur très différente (chaud/froid, saturé/désaturé, clair/obscur) sur de grande surfaces peinte dans des couleurs très proches. Un mage en tunique bleue et blanche, par exemple, peut être sublimé par une petit touche bien pensée de rouge, sans pour autant casser le schéma global de la figurine.

Les personne ayant lu cet article ont aussi lu :  Comment peindre quand on est daltonien ?

Contraste de couleur pure

Peut-être le plus simple à comprendre, c’est probablement celui que j’utilise le moins…. pour ne pas dire pas du tout. Il s’agit ici de venir juxtaposer des couleurs à leur saturation maximale. C’est donc très simple d’imaginer qu’en effet, les contrastes alors obtenus sont particulièrement forts. Le problème de cette technique est qu’elle est justement complexe à doser. On a vite tendance à se retrouver avec une belle équipe de supporter de foot bariolés. Ca marche pour du Blood Bowl, un peu moins pour du dark medieval. Cependant, bien exécuté, cela peut donner de très belles réalisations et constitue une manière efficace de contraster ses figurines.

Les limites de la théorie des couleurs

Dans la vie, on entend souvent “En théorie oui, mais en pratique…”. Et bien là, ça n’échappe pas à la règle. La théorie a aussi ses limites. Du point de vue de la créativité mais pas que… aussi, je tiens à mettre en garde (et je l’ai déjà fait dans l’article) contre des petites dérives potentielles.

Théorie ne veut pas dire “science imposée”

Il faut avant tout garder en tête que la théorie, c’est de la théorie. C’est une base à connaître, utile pour la pratique. Mais à aucun moment, cela veut dire que c’est une forme de l’art imposée. Chaque grand génie, dans son domaine, a su casser les codes pour faire grandir son art, sa passion. Il a su sortir des limites données par la théorie de l’époque. Il a su tester, échouer, de nombreuses fois probablement, pour au final arriver un jour à sublimer ses oeuvres.

Je ne dis pas que la théorie ne vaut rien… je viens de passer au moins une dizaine d’heures à tenter d’en expliquer un bout. Je dis simplement qu’il ne faut pas se sentir prisonnier de cette théorie. Après tout, la peinture, c’est une forme d’expression, quelque chose de très personnel. Si ton Batman, t’as envie de le peindre en rouge et orange, et bien fais-le. C’est moche au final ? Et alors ? Tu auras de toutes façons appris quelque chose, ou pris du plaisir à le faire, ou les deux.

Apprends et connais la théorie, pour l’utiliser quand tu le souhaites, la contourner quand tu en envie, la repousser quand tu y arrives !

Rien ne remplace la pratique

Et la dernière chose c’est que, comme déjà évoqué, rien ne remplace la pratique. Tu pourras connaître la théorie sur le bout des doigts, battre les plus grands à la final de Question pour un Champion spéciale Peinture sur Fig, ça ne te dira pas comment tenir un pinceau correctement. Pour ça, il faut pratiquer. Si tu as le choix, entre une session de peinture, ou une session youtube/blog théorique, tu dois quasiment à chaque fois porter ton choix sur la première. Sauf si c’est pour lire un article d’Apprendre la peinture sur figurine, ça t’as le droit 😉


Et sur ces lignes, je crois que nous achevons notre chapitre “théorie des couleurs”. J’espère sincèrement que cela t’auras aidé et t’aideras encore un moment. J’ai passé pas mal de temps à me documenter, à comprendre les choses et à les reformuler à ma manière. Mais bien sûr, il se peut que quelque chose ne soit pas clair, mal dit, faux ou autre… si c’est le cas, n’hésite pas à m’en faire part, je ferai les modifications nécessaires pour que cette article soit le plus propre possible.

Maintenant, quelque chose m’intéresse, pour mesurer l’impact de ces articles théoriques : si tu le souhaites, envoie-moi une photo (en commentaire ici ou par mail) d’une peinture avant la lecture de la série “théorie des couleurs”, et une photo après… on pourra analyser ensemble la progression et les axes de travail, ça devrait être hyper intéressant pour toi, pour moi, pour tout le monde !

A présent, je te dis merci de m’avoir lu jusqu’au bout, et bien évidemment, comme à mon habitude, je te laisse avec mon désormais classique “A très bientôt et surtout, n’oublie pas de mettre des couleurs dans ta vie” !

Partager l'article :

10 commentaires

  • denis

    Hello! merci beaucoup pour cet article très intéressant. Juste pour appuyer tes propos, cela aurait été intéressant de mettre des photos pour chaque cas : par exemple le contraste gris-coloré, je ne vois pas trop ce que cela peut donner. 🙂

    • Guillaume

      Bonjour Denis,

      Tout d’abord, merci pour ton commentaire. Et en effet, il est prévu que j’ajoute des photos pour illustrer les propos. Je vais m’atteler à la peinture pour compléter l’article, mais je voulais qu’il soit en ligne au plus vite. Bref, les photos arrivent 😉

  • Laura

    Super article, c’est vachement intéressant ! 🙂 J’aime beaucoup ta technique de décomposer ton sujet en fragments plus ou moins grossiers pour faire des ombres plus ou moins précises en fonction du temps que tu es prêt à y passer.

    • Guillaume

      Hello Laura,

      Merci ! Et oui, en peinture sur figurine (peut-être aussi en peinture tout court, je ne sais pas) c’est hyper important. Car il faut bien différencier la peinture d’expo (plusieurs heures/dizaines d’heures sur une fig) de la peinture de jeu (max 2h par fig en général… je parle d’une moyenne hein, on crie pas au scandale svp ^^). Et si on veut rester dans les clous de ses objectifs de temps, procéder par étape permet de se cadrer, en se disant : ok, je voulais faire en 2h, donc je m’arrête là, et j’ai procédé de manière logique pour avancer le plus possible.
      Est-ce applicable à la peinture sur toile… j’imagine que oui, dans une certaine mesure, puisqu’on part du croquis, pour ensuite poser les masses principales, puis entrer dans le détail au fur et à mesure. Corrige-moi si je me trompe !

  • frederic

    Bonjour Guillaume!!
    Tout d’abord un grand merci pour ce blog et pour le petit guide en téléchargement.
    j’ai lu avec grand intérêt quelques uns des articles, ils sont tous très pédagogique et font progresser, en tout cas pour le théorie.
    Merci pour ce partage de connaissances. Je retourne à mais pinceaux!!!!
    Cordialement.

  • Olisoti

    Bonjour Guillaume,
    Très belle série d’articles “Théorie des couleurs”. En lien, indirect et complémentaire avec mes activités (Astronomie amateur, Paysagisme) c’est amusant. Je poste ici mais j’aurais pu poster sur plusieurs pages, félicitation et merci pour tout ce partage. Après une bonne quinzaine d’années sans toucher aux pinceaux, je vas me remettre à la peinture de figurines, tout un set peinture m’attend d’ici quelques jours \O/ (anniv’ en approche :D).

    Je cherchais à dépoussiérer mes “anciens acquis” et à découvrir l’évolution des méthodes et des gammes, ce site est vraiment riche et possède une approche – authentique – qui me plait. Il va contribuer à mon “renouveau”. Bon allez, j’arrête de raconter ma vie… 😉

    Je vais suivre tout ça. Au plaisir de poursuivre ma lecture ici et de voir apparaître de nouveaux articles.
    OliSoti

  • Steph

    Merci pour se partage
    Je me suis régalé à lire les 3 articles peinture se soir
    Super boulot se blog est top pour m aider à comprendre pour essayer de mieux pratiquer
    Continue c est top
    Encore merci 🤙👌👌

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *